Décidément, il semble que chaque printemps voit apparaître de nouvelles
interventions artistiques dans la rue du Cheval Noir... Après les
plantes grimpantes, la fresque
participative des Mariniers, et les exactions colorées d'Obêtre (et dans
l'esprit qui caractérise sa citation de Banksy :
"imaginez une ville remplie de graffitis..."), voici qu'apparaissent en
ce moment des inscriptions sur les murs du quartier...
Cette fois-ci des mots, des couleurs, des faux panneaux d'indication et d'autres subterfuges discrets (et moins discrets...) viennent interroger les rapports entre art et espace public, entre l'habitant et la ville.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire